J'aime... Je partage ;)

« Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.

Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.

Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !

Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre. »

Kersauzon

Une rubrique à partager

Tu m'a fais peur, sur le coup j'ai cru que ct un début de dépression ton post ....

Nan nan, mais je trouve que c'est un beau remerciement à la vie

Oui surtout par ou il est passé, un peu d'humilité devaant la nature ne fait pas de mal

Gnafron a écrit:

Tu m'a fais peur, sur le coup j'ai cru que ct un début de dépression ton post ....

Ouf ! Pareil !! Lol.

Balaise ce Kersauzon ! J'aime bien ce genre de citation.

notre amiral sous ces attraits un peu bourrus est un homme très respectable sur bien des domaines et j'adore son franc-parler .

j'aime et je partage, mais la signature à la fin du texte est bien la mienne.
A l'époque, une vielle arola pétaradante
et dans l'arola, mis a part le conducteur un chien
(certain joue de l'accordéon, parfois je joue avec les lettres)


Toutou
Tu étais magnifiquement beau et fier
Le regard fixe loin devant
Très droit et attentif à la route
Dans cette voiture.
Les autres n'avaient qu'à bien se tenir
Respectueux du code de la route
Tu étais tel un roi
Dans un magnifique carrosse
Ne te manqu ait qu'une escorte
Ne te manquait
Que les officiels
La vitre ouverte, l'air
Te fouettait la gueule
Mais qu'importe,
Les moustaches dans le vent
Tu avalais les kilomètres
Tel un routard
Dans un vieux break américain
Sauf que ta voiture
N'avait rien
D'un v ieux break américain
C'était une vielle pétoire
Un de ces véhicules sans permis
Fumant et polluant
Qui dan un barouf épouvantable
Tirait péniblement ses 40 kilomètres heure
Mais pour toi bon chien
Fidel serviteur de son maitre

Quelle importance du véhicule
Du moment qu'on bouffait du kilomètre
Tu étais grand seigneur
Accompagné d'un prince
La fortune
Tu ne l'avais pas
Mais dans ton regard de bon chien
Tu avais
Toutes les richesses du monde                                                            Dpmp 1 0/03/2006

Qu'importe le flacon tant qu'on a l'ivresse

c 'est un peu çà

Voui !

depuis tu as pris un peu plus grand pour te balader

si seulement çà rentrait dans la soute, c'a m'irais bien

"Je reviens de vacances, et j'suis crevé dis donc. Je sais pas qui a dit que partir c'est crever un pneu mais il avait raison." (Coluche)